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« Si tu chantes la beauté, même dans la solitude du désert tu trouveras une oreille attentive » – Khalil Gibran.

De partout dans le monde, des êtres humains sont tués par d’autres êtres humains. Des personnes comme vous et moi, comme chacun d’entre nous, des personnes qui ne demandent qu’à vivre leur quotidien dans la paix et la liberté, sont oppressées, humiliées et bien trop souvent tuées. Korhom a choisi pour seul devoir de s’attacher, encore et toujours, à construire pas à pas une paix dans laquelle la dignité humaine est reconnue. Aussi infime soit notre participation, nous ne lâcherons pas cette mission. Et s’il s’agit de permettre à seulement quelques personnes, jeunes ou moins jeunes, de se construire avec d’autres armes que celles de la violence, alors nous aurons gagné. Soyons chaque jour attentifs aux regards que nous croisons, osons y voir toute l’humanité qui s’y loge, aussi différents puissent être les visage ou les costumes qui semblent nous séparer ; soyons confiants dans les incroyables potentiels qui résident en chacun, osons ouvrir nos bras et nos coeurs pour être, tous ensemble, solidaires et bienveillants. Il ne tient qu’à chacun de nous d’être ce que nous voulons pour le monde : pacifique, juste, fraternel.

Aussi, André Gide nous prête ses mots :

« Ce n’est pas seulement le monde qu’il s’agit de changer ; mais l’homme. D’où surgira-t-il, cet homme neuf ? Non du dehors. Camarade, sache le découvrir en toi-même, et, comme du minerai l’on extrait un pur métal sans scories, exige-le de toi, cet homme attendu. Obtiens-le de toi. Ose devenir qui tu es. Ne te tiens pas quitte à bon compte. Il y a d’admirables possibilités dans chaque être. Persuade-toi de ta force et de ta jeunesse. Sache te redire sans cesse : Il ne tient qu’à moi. »